Le RPR pose les actes de sa refondation
samedi 18 juillet 1998
vendredi 13 mars 1998
Régionales : la droite fait de la résistance
Dans ses bastions de Provence-Alpes-Côte d'Azur et d'Ile-de-France
Provence-Alpes-Côte d'Azur : le pari risqué de Léotard
L'état des forces dans les régions avant les élections du 15 mars
mercredi 4 mars 1998
jeudi 26 février 1998
vendredi 20 février 1998
Languedoc-Roussillon : ces arbitres qui détiennent les clefs du palais
L'état des forces dans les régions avant les élections du 15 mars
mardi 17 février 1998
« Numéros d'acteurs » sur TF1
François Hollande était à côté de Nicolas Sarkozy. Et Léotard à côté de Le Pen. Pour ce premier débat télévisé sur les élections régionales, ils avaient tiré leur place au sort. Et la ronde commençait, chacun s'efforçant de se sortir du classique dyptique enjeu national-enjeu régional. Plutôt national pour Nicolas Sarkozy, pour savoir si les « Français sont satisfaits ou mécontents » de neuf mois de gouvernement Jospin. Plutôt régional pour François Hollande, car il « faut rééquilibrer » des pouvoirs régionaux qui sont détenus massivement 20 sur 22. Rapidement, le débat se durcissait. Sarkozy ironisait sur « Mitterrand qui n'est plus à la mode au PS ». Et Hollande lui renvoyait dans les dents : « Et Chirac, il était RPR. Et vous ne l'avez pas soutenu. » Sarkozy était aussi la cible de Robert Hue qui lui demandait de « ne plus bluffer. Soyez modeste ! » en vantant les modèles anglais et américains de lutte contre le chômage, tandis que le Vert Noël Mamère accusait François Léotard de « ne pas faire son boulot de député ».
mardi 10 février 1998
Le Pen découvre l'insolence de ses « lieutenants »
Après son invalidation, Le Chevallier veut imposer sa femme
jeudi 5 février 1998
lundi 2 février 1998
La présidence bis du gaulliste Philippe Séguin
Le RPR reste le RPR dans la « rénovation » et la « fidélité » à Jacques Chirac
mardi 20 janvier 1998
samedi 17 janvier 1998
vendredi 16 janvier 1998
Les « regrets » à venir de Jospin
Après la vague d'indignation suscitée par ses propos devant l'Assemblée nationale
lundi 12 janvier 1998
Ponce Pilate en Ile-de-France
C'est une histoire d'humiliation. De manipulation. De mortification. Michel Rocard n'avait rien demandé. Michel Rocard s'était déjà imaginé. Michel Rocard a été joué. Instrumentalisé. Avec un mélange de naïveté et de vanité, il s'était jeté dans le panneau, tête baissée. Il s'en est relevé tout cabossé, rejeté, ringardisé, renvoyé à son destin inachevé. « Michel Tocard est revenu », riait « un camarade » avec une cruelle compassion. Comme si Rocard ne pouvait plus se défaire de son personnage de raté décrit dans Vingt ans après : « Jamais d'Artagnan n'avait manqué à son destin, mais le destin avait manqué à d'Artagnan. »
lundi 5 janvier 1998
jeudi 1 janvier 1998
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